MIAM

Quadriques et GéoSpace

Surfaces dans l'espace au lycée en spécialité TS.

Sommaire

1. Solides de révolution engendrés par des cercles
2. Hyperboloïde
3. Paraboloïde à selle

4. Paraboloïde hyperbolique d'équation x2 + y + z = 0
5. Surface d'équation z = rac(xy)

Page no 30, réalisée le 28/1/2003, mise à jour le 23/2/2010

Mathématiques
en terminale

GéoSpace en TS
Épreuve pratique

GéoPlan en TS
Géométrie plane

Derive
Paraboloïde-Hyperboloïde

Les quadriques de l'espace sont des surfaces algébriques de degré 2. Elles possèdent beaucoup de propriétés analogues à celle des coniques.

L'équation réduite permet de classifier ces surfaces avec les paramètres a, b, c :

Ellipsoïde : x2/a2 + y2/b2 + z2/c2 = 1.
Paraboloïde elliptique (bol) : z = x2/a2 + y2/b2.
Paraboloïde hyperbolique (à selle) : z = x2/a2 - y2/b2 ; par un changement de variable, l'équation se transforme en z = xy.
Hyperboloïde à une nappe : x2/a2 + y2/b2 - z2/c2 = 1.
Hyperboloïde à deux nappes : x2/a2 + y2/b2 - z2/c2 + 1 = 0.
Cône basé sur une ellipse : x2/a2 + y2/b2 - z2/c2 = 0.

Toutes ces surfaces, sauf le paraboloïde hyperbolique, seront étudiées ici comme engendrées par des solides de révolution avec a = b.
Le programme de spécialité de terminale S propose l'étude des paraboloïdes, bol et à selle, d'équations z = x2 + y2 et z = xy.
Les autres surfaces sont données à titre d'activités ou d'exercices.

1. Solides de révolution engendrés par des cercles

Paraboloïde elliptique (bol)

Le paraboloïde de révolution est la forme prise par la surface d'un liquide placé dans un cylindre d'axe vertical et animé d'une rotation rapide.

Conformément au programme de S, étudions le solide de révolution d'équation z = x2 + y2.

Pour une valeur positive fixée z0, x2 + y2 = z0 est l'équation d'un cercle c0 de centre I0(0 ; 0 ; z0) et de rayon rac(z0), contenu dans le plan P0 d'équation z = z0.

Quand on fait varier z0, on obtient une succession de cercles qui « s'empilent » et engendrent ainsi une surface de révolution autour de l'axe oz.

 

Avec GéoSpace passer en mode « trace » (icône ci-contre de la barre d'outils)

Mode trace

Faire varier z0, avec les flèches du clavier pour construire le paraboloïde.
Modifier éventuellement le pas avec les touches + ou -.

 

Sortir du « mode trace » (bouton ci-contre de la barre d'outils) pour toute autre action sur la figure.
Le lieu de points s'efface.

Sortir du « mode trace »

 

Paraboloïde engendré par des cercles

Voici le programme GéoSpace permettant d'obtenir la figure de gauche engendrée par des cercles :

z0 réel libre de [0,5]
   Objet libre z0, paramètre: 3.6
P0 plan d'équation Z=z0 dans le repère Rxyz
I0 point de coordonnées (0,0,z0) dans le repère Rxyz
c0 cercle de centre I0 et de rayon rac(z0) dans le plan P0 (unité Uxyz)

Objet libre actif au clavier: z0
Sélection pour trace: c0
Noms des points non affichés

Il est aussi possible, comme ici à droite, de générer la figure par des paraboles isométriques contenues dans les plans P0 d'équation X=x0, parallèles au plan yoz.

La parabole a pour équation z = y2 + x0x2.
Dans GéoSpace Il faut construire les trois points I0(x0, 0, 0) ; A(x0, 1, 0) ; B(x0, 0, 1) formant un repère I0AB du plan P0.
Dans ce repère la parabole a pour équation Y = X2 + x02.

Commande GéoSpace
Touche T : Activer le mode Trace et déplacer le cercle avec les flèches du clavier,
touche C : cacher monter le cône de révolution asymptote,
touche S : Sortie du mode trace.

Paraboloïde engendré par des paraboles

  g3w Génération par des cercles : télécharger la figure GéoSpace parabolo.g3w
  Génération par des paraboles : télécharger la figure GéoSpace parabol3.g3w

 Ellipsoïde

Ellipsoïde engendré par des cercles

C'est une surface de l'espace, d'équation de la forme :

x2/a2 + y2/b2 + z2/c2 = 1.

Choisissons a = b = 1 et c = 2 pour étudier l'ellipsoïde de révolution d'équation :

4 x2 + 4 y2 + z2 = 4.

Dans le programme GéoSpace précédent, modifier les deux lignes suivantes :

z0 réel libre de [-2,2]
…
c0 cercle de centre I0 et de rayon rac(4-z0^2)/2 dans le plan P0 (unité Uxyz)

  g3w Télécharger la figure GéoSpace ellipsoi.g3w

 Cône

Cône engendré par des cercles

C'est une surface de l'espace, d'équation de la forme :

x2/a2 + y2/b2 = z2/c2.

Choisissons a = b = c = 1 pour étudier le cône de révolution d'équation :

x2 + y2 = z2.

Dans le programme GéoSpace modifier les deux lignes suivantes :

z0 réel libre de [-2,2]
…
c0 cercle de centre I0 et de rayon abs(z0) dans le plan P0 (unité Uxyz)

  g3w Télécharger la figure GéoSpace cone_rev.g3w
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  Faire de la géométrie dynamique

 2. Hyperboloïde

 Ce sont des surfaces de l'espace du type :

 Hyperboloïde à une nappe : x2/a2 + y2/b2 - z2/c2 = 1 ; avec le cône asymptote « interne » d'équation x2/a2 + y2/b2 - z2/c2 = 0.
 Hyperboloïde à deux nappes : x2/a2 + y2/b2 - z2/c2 + 1 = 0 ; avec le cône asymptote « externe » d'équation x2/a2 + y2/b2 - z2/c2 = 0.

 Choisissons a = b = 1 et c = 1 ou c = −1 pour étudier deux hyperboloïdes de révolution avec leurs cônes asymptotes d'équation x2 + y2 = z2.

 a. Génération par des cercles

À une nappe

Hyperboloïde à une nappe

Étude du solide de révolution d'équation :

x2 + y2 = z2 + 1.

g3w Télécharger la figure GéoSpace hyper_1n.g3w

À deux nappes

Hyperboloïde à deux nappes

Étude du solide de révolution d'équation :

x2 + y2 = z2 - 1.

En bleu le cône asymptote.

g3w Télécharger la figure GéoSpace hyper_2n.g3w

Château d'eaub. Génération de l'hyperboloïde à une nappe par des droites

On se place dans le plan d'équation x = 1. L'intersection de l'hyperboloïde avec ce plan vérifie
y2z2 = 0, soit en factorisant (y − z) (y + z) = 0.
L'intersection est donc la réunion de deux droites génératrices :
(d) de couple d'équations {x = 1 ; y - z = 0} et (d’) de couple d'équations {x = 1 ; y + z = 0}.

Toute rotation d'axe Oz transforme les droites (d) et (d’) en deux génératrices de l'hyperboloïde.

Représentation dans le cube [-3, 3]3 avec GéoSpace :

La droite (d) passe le point A(1, 3, 3) situé sur le cercle c0 du plan horizontal d'équation z = 3 et le point B(1, −3, −3) sur le cercle c1 du plan horizontal d'équation z = −3.

Une rotation d'axe Oz, d'angle t radians, transforme A en C et B en D. La droite (CD) est une génératrice du solide.

 

Château d'eau des Pialoux (26 La Roche-de-Glun) : les directrices renforcent la solidité de l'édifice et permettent une construction plus économique avec des fers à béton rectilignes.


Une génératrice

Hyperboloïde à une génératrice

Trace des segments de génératrice [CD].

 

g3w Télécharger la figure GéoSpace hyp_1n_2.g3w

Deux génératrices

Hyperboloïde à deux génératrices

La droite (d’) passe par les points A’(1, -3, 3) et B’(1, 3, -3).

Une rotation d'axe Oz, d'angle t radians, transforme A’ en E et B’ en F. La droite (EF) est aussi une génératrice du solide.

g3w Télécharger la figure GéoSpace hyp_1n_3.g3w

Centrale de CruasRemarque 1 :

pour l'hyperboloïde à une nappe, l'existence de ces génératrices assure en architecture la rigidité du solide permettant d'utiliser cette forme pour des châteaux d'eau ou des tours de refroidissement.

Remarque 2 :

dans le cas général avec le type x2/a2 + y2/b2 - z2/c2 = 1 on se ramène à un solide de révolution x2/a2 + y2/a2 - z2/c2 = 1 par une affinité de plan Oxz et de rapport b/a puis on fait une étude similaire en étudiant l'intersection avec le plan d'équation x = a2.

 

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Faire de la géométrie dynamique


3. Paraboloïde à selle : paraboloïde hyperbolique d'équation z = xy

Exemple de surface, du programme de spécialité de terminale S, qui n'est pas de révolution.

Génération par des hyperboles contenues dans des plans horizontaux

L'intersection de la surface avec le plan horizontal passant par l'origine O est la réunion des deux axes (Ox) et (Oy).
Pour z0 ≠0, dans le plan P0 d'équation z = z0, construire une hyperbole (h0) d'équation xy = z0, puis avec le mode trace de GéoSpace, déplacer z0 de -1 à 5.

Paraboloïde à selle

  g3w Télécharger la figure GéoSpace par_xy.g3w

 Exemples de représentations dans le cube [-5, 5]3

  Il est conventionnel de représenter les surfaces à l'intérieur d'un cube. Ici on choisit le demi-côté a = 5.

Génération par des hyperboles contenues dans des plans horizontaux

Dans la figure ci-dessous, sont représentée les arcs d'hyperboles situées dans les plans d'équations z = z0 pour z0 variant de -5 à 5.

Paraboloïde à selle dans un cube

 

g3w Télécharger la figure GéoSpace par_xy_3.g3w

Génération par des directrices contenues dans des plans parallèles au plan (yOz)

Sur l'hyperbole, située sur la face supérieure du cube, sont placés les points P(x, a/x, a) et R(-x, -a/x, a) et sur la face inférieure les points
Q(x, -a/x, -a) et S(-x, a/x, -a). Les segments [PQ], [RS], sont inclus dans le paraboloïde.
Est aussi inclus dans la surface le segment [TU] qui joint les points T(z/a, a, z) et U(z/a, -a, -z), points situés dans les faces latérales du cube.

Paraboloïde à selle dans un cube 2

g3w Télécharger les figures GéoSpace par_xy_7.g3w, par_xy_x0.g3w

Génération par des directrices contenues dans des plans parallèles au plan (xOz)

Remarque : on peut obtenir une trame dans l'autre sens en utilisant les segments [PS] et [RQ] et le segment qui joint les points de coordonnées (a, z/a, z) et (-a, z/a, -z).

g3w Télécharger les figures GéoSpace par_xy_8.g3w, par_xy_y0.g3w

  Ci-dessous deux représentations permettant de visualiser les arcs d'hyperboles et les segments de droite contenus dans le paraboloïde.

Paraboloïde à selle dans un cube 3

g3w Télécharger la figure GéoSpace par_xy_4.g3w
Figure complète : télécharger la figure GéoSpace par_xy_5.g3w

Paraboloïde à selle dans un cube 4

g3w Télécharger la figure GéoSpace par_xy_6.g3w

  Génération par des paraboles contenues dans des plans verticaux

Paraboloïde généré par des parabolesL'intersection du paraboloïde avec des plans parallèles au plan d'équation x - y = 0 est une parabole.

La construction avec GéoSpace se fait dans un nouveau repère ayant pour axes horizontaux les bissectrices des axes (Ox) et (Oy).

Avec le changement de variables :

x = rac(2)/2(Y + X)
y = rac(2)/2(Y - X)

z = Z ;

Le paraboloïde d'équation z = xy, a pour équation dans le nouveau repère :
Z = (Y + X)(Y - X)/2 = (Y2 - X2)/2.

Pour un plan, ayant dans ce repère une équation de la forme X = X0, construire une parabole d'équation Z = (Y2 - X02)/2,
puis avec le mode trace de GéoSpace, déplacer X0 de -5 à 3.

En raison de la parité de la fonction, on remarque que les plans d'équation X = 0 et Y = 0 sont plans de symétrie de la surface.

g3w Télécharger la figure GéoSpace par_xy_para.g3w


 Génération du paraboloïde hyperbolique d'équation z = xy par des droites

  Représentation dans le cube [-1, 1]3.
  L'intersection de la surface avec les faces latérales du cube est formée par quatre diagonales des faces de ce cube.
  Les droites joignant les points de même abscisse, situés sur les diagonales opposées, sont des génératrices de la surface.

paraboloïde hyperbolique - vue 1 paraboloïde hyperbolique - vue 2
paraboloïde hyperbolique - vue 3 paraboloïde hyperbolique - vue 4

  La recherche de l'intersection de la surface précédente, avec le plan d'équation x = 0, permet d'en déduire l'étude de la surface d'équation :

 

z

y =


 

x

  g3w Télécharger la figure GéoSpace par_xy_2.g3w

Démonstration

D'après le Paraboloïde hyperbolique d'équation z = xy – Jacques Lucet – bulletin APMEP no 486 – Janvier 2010

Point de parboloïde hyperboliqueÉtude dans un cube ABCDEFGH de centre O, de côté de longueur 2.
Les sommets A(1, 1, 1) ; H(-1, 1, -1) ; C(-1, -1, 1) et F(1, -1, -1) sont des points de la surface S d'équation z = xy.

Étant donné deux nombres réels λ et µ, on considère les barycentres :
M barycentre de (A, λ) et (H, 1-λ) ;
N barycentre de (F, λ) et (C, 1-λ) ;
P barycentre de (A, µ) et (F, 1-µ) ;
Q barycentre de (H, µ) et (C, 1-µ).

Soit R le barycentre de (M, µ) et (N, 1-µ).

Le point R est aussi le barycentre de (P, λ) et (Q, 1-λ).

En effet d'après le théorème d'associativité le barycentre de (A, λµ) ; (H, (1-λ)µ) ; (F, λ(1-µ)) et (C, (1-λ)(1-µ)) est d'une part le barycentre du barycentre partiel de (A, λµ) et (H, (1-λ)µ) soit le point M et d'autre part le barycentre partiel de (F, λ(1-µ)) et (C, (1-λ)(1-µ)) soit le point N.
C'est le barycentre de (M, µ) et (N, 1-µ), soit le point R.

De même, le barycentre de (A, λµ) ; (H, (1-λ)µ) ; (F, λ(1-µ)) et (C, (1-λ)(1-µ)) est d'une part le barycentre du barycentre partiel de (A, λµ) et (F, λ(1-µ)) soit le point P et d'autre part le barycentre partiel de (H, (1-λ)µ) et (C, (1-λ)(1-µ)) soit le point Q.
C'est le barycentre de (P, λ) et (Q, 1-λ), Ce barycentre est bien le point R.

Les droites (MN) et (PQ) sont donc concourantes en R.

Les points M, N, P et Q appartiennent à la surface S

M est le barycentre de (A, λ) et (H, 1-λ). La fonction vectorielle de Leibniz permet d'écrire : vect(HM) = λ vect(HA).
Avec les coordonnées M(x, y, z) ; A(1, 1, 1) ; H(-1, 1, -1) et vect(HA)(2, 0, 2) ; on trouve le système d'équations :
x + 1 = 2 λ,
y - 1 = 0,
z + 1 = 2 λ.

Soit M(-1 + 2λ, 1, -1 + 2λ). Ces coordonnées vérifient l'équation xy = z de la quadrique S pour tout réel λ. La droite (AH) est tout entière contenue dans la surface S.

N est le barycentre de (F, λ) et (C, 1-λ).
Avec les coordonnées N(x, y, z) ; C(-1, -1, 1) ; F(1, -1, -1) et vect(CF)(2, 0, -2) ; la fonction vect(CN) = λ vect(CF) permet de trouver le système d'équations :
x + 1 = 2 λ,
y + 1 = 0,
z - 1 = -2 λ.

Soit N(-1 + 2λ, -1, 1 - 2λ). Ces coordonnées vérifient l'équation de S pour tout λ. La droite (CF) est contenue dans la surface S.

De même, pour tout réel µ, les coordonnées de P(1, 2µ - 1, 2µ -1) et Q(-1, 2µ - 1, 1 - 2µ) vérifient l'équation de S.
Les droites (CF) et (FA) sont tout entières contenues dans la surface S.

Le point R est un point de la surface S

R est le barycentre de (M,µ) et (N, 1-µ).
Avec les coordonnées R(x, y, z) ; M(-1 + 2λ, 1, -1 + 2λ) ; N(-1 + 2λ, -1, 1 - 2λ) et vect(NM)(0, 2, -2 + 4λ) ; la fonction vect(NR) = µ vect(NM) permet de trouver le système d'équations :
x + 1 - 2 λ = 0,
y + 1 = 2µ,
z - 1 + 2 λ = (-2 + 4λ)µ.

Soit R(-1 + 2λ, -1 + 2µ, 1 - 2λ - 2µ + 4λµ). Pour tout λ et tout µ, ces coordonnées vérifient l'équation de S et les droites (MN) et (PQ) sont contenues dans la surface. Les droites (MN) et (PQ) engendrent la surface S.

Réciproque

Réciproquement quel que soit le point R de la surface S, n'appartenant pas au cube, le plan (FCR) coupe la droite (AH) en M. La droite (MR) coupe (FC) en N. Le point R a pour abscisse µ dans le repère (N, vect(NM)).
De même, le plan (RHC) coupe (AF) en P et la droite (PR) coupe (HC) en Q. Le point R a pour abscisse λ dans le repère (Q, vect(DP)).
Les droites (MN) et (PQ) s'appuient sur les côtés du quadrilatère AHCF et sont entièrement contenues dans la surface S.

g3w Télécharger la figure GéoSpace par_xy_2_demo.g3w

 4. Paraboloïde hyperbolique d'équation x2 + y + z = 0

  Représentation dans le cube [-2,2]3.

Paraboloïde hyperbolique x² + y + z = 0

Paraboloïde hyperbolique z = y-x²La symétrie par rapport au plan d'équation
y = 0 permet de visualiser la surface d'équation :

z = y - x2.

  g3w Télécharger la figure GéoSpace p_x2_y_z.g3w

 5. Surface d'équation z = rac(xy)

Surface d'équation z = rac(xy)L'équation de cette surface peut aussi s'écrire sous la forme z2 = xy et z ≥ 0.

Représentation dans le cube [0,5]3

g3w Télécharger la figure GéoSpace p_rac_xy.g3w


 

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Sommaire

1. Solides de révolution engendrés par des cercles
2. Hyperboloïde
3. Paraboloïde à selle
4. Paraboloïde hyperbolique d'équation x2 + y + z = 0
5. Surface d'équation z = rac(xy)

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