MIAM

Analyse en 1L avec GéoPlan

Cycle terminal de la série littéraire - option facultative

Travaux pratiques en option 1L : deux cadres dans GéoPlan ; un pour visualiser une situation géométrique, l'autre pour tracer une fonction.

Sommaire

1. L'ombre d'un gyrophare
2. La plus petite aire
4. Trajet en temps minimum
6. Histoires de toit - voûte circulaire

La parabole en L

3. Aire maximum d'un rectangle dans un trapèze
5. Approche géométrique d'une tangente
6. Histoires de toit - voûte parabolique
7. Quadrature par la méthode d'Archimède
8. Le crible géométrique de Matiiassevitch

La Parabole en 1S

Page no 53, réalisée le 5/10/2003 - mise à jour le 18/1/2010

Problèmes de construction en 1L

Inscrire, circonscrire un triangle équilatéral à un triangle donné
Inscrire un triangle équilatéral inscrit dans un carré

Inscrire un carré dans un demi-cercle

Construction des polygones réguliers

Construction d'une droite passant par un point et l'intersection de deux droites sans utiliser cette intersection : intersection inaccessible

Nombres constructibles : grands problèmes de la géométrie grecque

Construction de triangles

Les droites du triangle

Angles
Rotations

Octogone et arcs de cercle

Plus court chemin

Faire de la géométrie dynamique

Attente des programmes et instructions officielles

En collège comme en lycée, les instructions officielles de mathématiques préconisent depuis plus de dix ans l'usage de l'outil informatique (calculatrices programmables ou non et ordinateurs) tant dans les contenus de programmes que dans les commentaires.

Le programme de mathématiques en première L s'intitule « mathématiques et informatique » et nécessite un travail régulier en salle d'informatique.

Technique GéoPlan : dans certains des exercices est utilisée une seule figure avec deux cadres : le cadre de gauche pour la figure géométrique, le cadre de droite pour une fonction.

1. L'ombre d'un gyrophare

Dans un aérodrome, un gyrophare est placé au-dessus d'un hangar cylindrique de 10 m de haut et de base circulaire de 40 m de diamètre. Le cône d'ombre est un cercle de rayon x et on veut déterminer la hauteur h du gyrophare (au-dessus du sol) en fonction de ce rayon.
a) Faire le lien entre la situation décrite et le schéma ci-dessus.
b) En considérant les deux triangles semblables XAB et XOH, montrer que h(x) = 10x/(x-20).
c) En considérant les triangles semblables BIH et XAB, montrer que h(x) = 200/(x-20) + 10.
d) Vérifier, par le calcul, que les deux expressions sont égales, pour tout x > 20.
e) Établir le tableau de variation de h en fonction de x.

Ombre d'un gyrophare

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Faire de la géométrie dynamique

2. La plus petite aire

Soit un segment [OA] de longueur donnée (par exemple 10) et M un point de ce segment.
Du même côté de [OA], on construit le triangle équilatéral OTM et le carré AMNP. On pose OM = x.
a) Donner l'expression et la représentation graphique de l'aire du triangle OTM en fonction de x.
b) Donner l'expression et la représentation graphique de l'aire du carré AMNP en fonction de x.
c) Étudier les variations de la somme des aires du triangle et du carré en fonction de x.
Pour quelle valeur de x cette aire est-elle minimum ?
Remarque - On peut envisager un triangle OTM rectangle isocèle, ou bien un deuxième carré OMTU. Cette situation conduit à étudier d'abord deux fonctions trinômes avec des coefficients de x2 de signes différents, puis la somme de ces deux fonctions.

La plus petite aire

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Faire de la géométrie dynamique

3. Aire maximum

Voir : aire maximale d'un rectangle inscrit dans un triangle

Aire maximun d'un rectangle dans un trapèze

Soit ABCD un trapèze rectangle en A et D tel que AB = 6 cm, AD = 4 cm et CD = 2 cm. Un point N parcourt le segment [BC] ; on construit le rectangle AMNP avec P sur [AB] et M sur [AD].
Exprimer l'aire du rectangle AMNP en fonction de AM et représenter graphiquement cette aire en fonction de AM.
Pour quelle valeur de AM cette aire est-elle maximum ?

Remarque - On peut séparer la classe en groupes et faire cet exercice avec différentes valeurs de a et b, (b > a),
avec CD = a, AD = b, AB = a + b, et vérifier alors que le maximum est toujours atteint quand P est au milieu de [AB], puis le démontrer.

Aire maximum - Trapèze

Commandes avec GéoPlan :
Touche T : Tracé point par point du graphe,
touche S pour Sortir du mode trace,
touche L : dessin en bloc du graphe,
touche N : piloter N au clavier,
touche A : modifier a au clavier,
touche B : modifier b (b > a).

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4. Trajet en temps minimum

Variations

Un point A se situe à 3 km d'un segment [DD’] de longueur 6 km et sa projection orthogonale sur [DD’] se situe en H à 4 km de D (et à 2 km de D’).
a) Sans aucun calcul, dresser le tableau donnant les variations de la longueur AM en fonction de la longueur DM.
b) Exprimer analytiquement AM en fonction de DM et représenter graphiquement cette fonction sur la calculatrice.

Trajet en temps minimum

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Parcours à VTT

Un vététiste part de D pour arriver en A situé au milieu d'une grande prairie. Il peut emprunter un chemin carrossable [DD’] rectiligne de 6 km de long. Le point A est distant de 3 km de [DD’], se projette en H sur (DD’) ; DH = 4 km et HD'= 2 km.

Quel itinéraire doit-il choisir pour aller le plus rapidement possible de D à A dans les cas suivants ?
a) il se déplace à la même vitesse v (par exemple 15 km.h– 1) sur le chemin et dans la prairie ;
b) il se déplace à la vitesse v1 sur le chemin, à la vitesse v2 dans la prairie, et v1 = 2v2 (avec par exemple v2 = 10 km.h– 1).

Indications : si les vitesses v1 et v2 sont exprimées en km.h– 1 et si on pose DM = x, le temps t (en heure) mis par le vététiste pour aller de D à A vérifie :
t = x1/v1+rac((4-x)²+9)/v2.

Trajet VTT en temps minimum

Commandes avec GéoPlan :

T : laisse la Trace du point N
S : Sortir du mode trace
L : dessine ou efface le Lieu de N
1 : pilote la vitesse v1,
2 : pilote la vitesse v2,
I : donne à v1 et v2 les valeurs Initiales :20 km/h et 10 km/h,
M : retour au pilotage du point M,
D : la valeur de v2 est la moitié de celle de v
1.

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Variante avec un bateau : fonctions distance
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 5. Approche géométrique d'une tangente à la parabole

  Recherche d'une propriété des tangentes issues d'un point T situé sur l'axe de la parabole.

tangente à la parabole

La courbe (P) d'équation y = ax2 (a désignant un réel non nul, par exemple a = 0,5) est appelée parabole. Soit T un point de l'axe des ordonnées ayant une ordonnée t de signe contraire à celui de a (par exemple t = − 4). On fait pivoter une droite Δ autour du point T et on observe l'intersection de Δ et (P) : faire des essais (l'équation de étant de la forme y = mx - 4, on essaiera avec des valeurs entières de m : 0, 1, 2, 3…).

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2 tangente à la parabole

On met ainsi en évidence deux cas où la droite est « tangente » à (P). Le milieu T’ des points de contact C et C’ des deux tangentes à la parabole semble alors lié au point T.
L'objectif est alors de prouver la propriété conjecturée. Après généralisation, on en déduit un moyen simple pour construire les tangentes à une parabole passant par un point donné de son axe de symétrie.

g2w Télécharger la figure GéoPlan para_tan2.g2w

Indications : on pourra d'abord chercher les abscisses des points d'intersection de (P) et Δ.
Dans les cas m = 3 on aboutit à une équation de la forme (x - 3)2 = 1,
puis m = 4 …
Pour m quelconque, ces calculs préliminaires amènent à l'équation :
(x - m)2 = m2 - 8.
Il y a tangence quand il y a une seule solution, donc lorsque m2 = 8.
On peut séparer la classe en groupes et faire cet exercice avec différentes valeurs de t (voire de a). Chaque groupe aboutit (?) au même résultat : le point T’ est symétrique de T par rapport à O.

Remarque : on ne manquera pas par la suite de vérifier que l'on obtient bien la même tangente en utilisant la dérivée.

Voir : tangente en 1S
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6. Histoires de toit

Voûte circulaire

Un toit s'appuie sur une voûte en demi-cercle de rayon r, de diamètre [AA’], comme l'indique la figure ci-dessous.

Le toit de sommet F est représenté par les segments [XF] et [X’F] tangents en T et T’ au cercle. Soit h l'ordonnée de F et x l'abscisse de l'extrémité X ; les coordonnées des sommets sont alors F(0, h), X(x, 0) et X’(-x, 0).

I. Quelle doit être la hauteur h du faîte F pour que les deux pans du toit forment un angle droit ? Situer le point de contact de chaque pan avec la voûte.

Par des simples considérations géométriques, on trouve h = x = rrac(2) et les coordonnées de T sont (rrac(2)/2, rrac(2)/2).

Remarque : on peut reprendre ces questions dans le cas d'un toit formant un angle de 60° ou 120°.

Histoires de toit

II. Plus généralement déterminer l'expression donnant la hauteur h en fonction de la longueur OX notée x.

Construire une représentation graphique de la fonction x ® h.

L'expression de h en fonction de x s'obtient assez facilement en considérant les triangles rectangles semblables FTO et OTX.

On trouve h = rx/rac(x²-r²).

Bien que ce type de fonction soit en dehors du programme de terminale L, la calculatrice permet une représentation graphique « aisée » ; celle-ci peut aussi se construire point par point à partir du dessin ; l'utilisation d'un logiciel de géométrie dynamique sera bienvenue (le dessin met en évidence deux droites asymptotes dont l'interprétation géométrique est évidente).

III. Les tangentes à la parabole d'équation y = a x2 à partir du point F(0,t) {a et t de signes contraires} sont en contact avec la parabole aux points T et T’ de milieu F’. F et F’ sont symétriques par rapport à O (cf : 5. Approche géométrique d'une tangente à la parabole, attention aux divergences de notation).

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IV. Voûte parabolique

Un toit, dont les pans sont symétriques par rapport à la verticale issue du faîte du toit est soutenu par une voûte parabolique (voir la figure ci-dessous). La distance AA’ et la hauteur OH sont fixée (par exemple AA’ = 4 et OH = 2).

Déterminer la hauteur du faîte OT ainsi que le surplomb OX et la longueur des poutres pour que l'angle formé par les deux pans du toit soit droit.

L'équation de la parabole est de la forme y = a x2 + h. L'ordonnée h de H étant égale à 2 et en écrivant que les coordonnées de A vérifient cette équation on obtient : y = 2 - x²/2.

Soit T(0, t) et H’(0, t’). On a, d'après le chapitre 5 précédent (attention aux divergences de notation), 1/2 (t + t’) = 2 soit t’ = 4 - t.

Pour un faîte à angle droit en calculant les coordonnées de C, on trouve t = 2,5.

Voûte parabolique

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7. Quadrature de la parabole par la méthode d'Archimède

La quadrature de la parabole est le calcul de l'aire d'un segment de parabole, délimité par un arc de parabole et la corde qui le sous-tend.
C'est un des premiers calculs de surface, réalisé par Archimède (287-212 av. J.-C.).

Proposition I du livre de la méthode d'Archimède : l'aire du segment de parabole ASB est 4/3 de l'aire du triangle ASB.

L'objectif est de calculer l'aire de l'arche sous la parabole, limitée par la courbe et la corde [AB] en utilisant la méthode des triangulations successives.

Voici une présentation du travail d'Archimède pour la parabole représentant la fonction f définie par f(x) = −x2 + 4 (équation loin des préoccupations de l'époque où l'on parlait de section de cône rectangle).

Les figures ci-dessous sont des cas particuliers (base du triangle perpendiculaire à l'axe de la parabole). Le calcul est valable pour le cas général. On pourra, avec GéoPlan, modifier la parabole ou le segment [AB].

méthode d'Archimède 1 méthode d'Archimède méthode d'Archimède 3

Le principe de la démonstration d'Archimède est :

  – de remplir l'espace entre le triangle ASB et le segment de parabole ASB par des triangles obtenus par dichotomie,
  – de parvenir, par des considérations géométriques simples à l'évaluation de l'aire de ces triangles,
  – d'établir la conjecture : « l'aire sous l'arche de parabole est 4/3 de l'aire du triangle ASB »,
  – de faire la démonstration de cette conjecture par un double raisonnement par l'absurde (dépassant le cadre de la 1L).

Trois étapes :

Dans la figure de gauche, qui correspond à la première étape, S’ est le milieu de [AB] et (SS’), parallèle à l'axe de la parabole, est le diamètre conjugué de AB.
L'aire du triangle ASB est égale à Ã = 1/2 b × h = 1/2 SS’ × h = 1/2 × 4 × 4 = 8

La deuxième étape, figure du milieu, consiste à introduire deux nouveaux triangles, ayant pour côtés respectifs [AS] et [BS] et dont les sommets I et J sont sur les parallèles à l'axe de la parabole passant par les milieux I’ de [S'A] et J’ de [S'B]. On notera I1 et J1 les milieux de [SA] et [SB].
L'aire du triangle ASI = 1/2 II1 × h/2 et celle de BSJ = 1/2 JJ1 × h/2.
Or II1 = JJ1 = SS'/4, l'aire cumulée des triangles est égale à 1/2 II1 × h = 1/2 SS'/4 × h = 1/4 Ã
L'aire des trois triangles est Ã(1 + 1/4) = 10.

On poursuit le remplissage de la parabole, en construisant quatre nouveaux triangles, inscrits dans la parabole, de côtés [AI], [IS], [SJ], [JB] et dont les sommets sont sur les parallèles à (SS’) passant par les milieux I’ et J’, situés sur le côté.
La longueur des segments CC1, DD1, EE1, FF1 est égale à SS'/16. L'aire des triangles est 1/2CC1 × h/4 = 1/2 SS'/16 × h/4.
En cumulant ces quatre aires : 1/2SS'/16 × h = 1/16 Ã.
La somme des aires de ces sept triangles est : Ã(1 + 1/4 + 1/16) = 10,5.

Idées de démonstration

Archimède a démontré ces résultats par des considérations géométriques liées à la tangente en A à la parabole. On peut aussi étudier la tangente en S, parallèle à (AB).
La preuve moderne en géométrie analytique, pour une parabole d'équation f(x) = a x2 + b x + c résulte des calculs (avec a < 0, pour a > 0 prendre les valeurs absolues) de :
SS’ = f(s)-(f(s-m)+f(s+m))/2 = − a m2,
II1 = f(s+m/2)-(f(s)+f(s+m))/2 = − 1/4a m2 = JJ1 = SS'/4,
DD1 = f(s+m/4)-(f(s)+f(s+m/2))/2 = − 1/16 a m2 = CC1 = EE1 = FF1 = SS'/16.

Conclusion

Il est difficile de faire une figure pour les étapes suivantes ; à chaque étape, on rajoute ainsi des triangles dont l'aire totale est le quart de l'aire totale des triangles rajoutés à l'étape précédente.

On obtient une somme d'aires de triangles égale à la somme des termes d'une suite géométrique de raison 1/4 :
Ã(1 + 1/4 + 1/16 + …) = Ã 1/(1-1/4) = Ã × 4/3 = 8 × 4/3 = 32/3.

Figure GéoPlan

Quadrature de la Parabole par la méthode d'ArchimèdeP est une parabole d'équation y = a x2 + b x + c.
Pour un paramètre m l'étude se fait sur l'intervalle [s-m, s+m].
A et B sont les points de la parabole P d'abscisse s+m et s-m.
S’ est le milieu de [AB], S est sur la parabole : points d'abscisse s.

Commandes :
Touche 1 : visualiser l'aire du triangle ASB et d'afficher sa valeur,
touche 2 : afficher les points I, I’, I1, J, J’ et J1 ainsi que les segments correspondants,
touche 3 : visualiser les aires des triangles SAI et SBJ,
touche 4 : afficher les points C, D, E, F ainsi que les segments correspondants,
touche 5 : visualiser les aires des triangles BFJ, JES, SDI et ICA.

Touches A, B, C : piloter au clavier les coefficients du trinôme, touche S, M : modifier le centre et les bornes de l'intervalle d'étude,
touche D : centrer l'intervalle d'étude au sommet de la parabole.

Mode d'emploi :
charger sur la figure avec GéoPlan,
revenir à la position initiale en tapant sur les touches 5, puis 4, 3, 2 et 1 pour retrouver le segment de parabole BSA.
Modifier éventuellement les paramètres,
construire la figure en tapant 1 pour la première étape,
puis 2, 3 pour la deuxième étape,
4 et 5 pour la troisième étape
.

 

g2w Télécharger la figure GéoPlan qua_para.g2w
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Faire de la géométrie dynamique

8. Le crible géométrique de Matiiassevitch

Le segment [MN] coupe l'axe (Oy) à l'ordonnée mn Crible géométrique de MatiiassevitchLe produit de deux nombres entiers notés sur chaque branche de la parabole, se lit directement à l'intersection du segment et de l'axe de la parabole.

Ainsi, nous obtenons un crible géométrique très simple pour trouver les nombres premiers.
Cette idée simple et géniale nous vient des mathématiciens russes Yuri Matiiassevitch et Boris Stechkin.

Sur la parabole d'équation y = x2, on considère les points M et N d'abscisses respectives m et - n (m > 1, n > 1).
Le segment [MN] coupe l'axe (Oy) à l'ordonnée mn.

Ainsi, en traçant tous les segments [MN] « possibles », pour m et n donnés, on peut lire sur l'axe des ordonnées tous les nombres premiers inférieurs à mn : ce sont les nombres entiers qui ne sont traversés par aucun segment [MN].

En effet, considérons les points M (m, m2) et N(-n, n2) situés sur la parabole.
La droite (MN) a pour coefficient directeur :
a = (m2 - n2) / (m - (-n)) = (m + n)(m - n) / (m + n) = (m - n).
La droite passe par M donc : y - m2 = (m - n) (x - m) = (m - n) x - m2 + mn,
L'équation de (MN) est y = (m - n) x + mn
Quand x = 0, y = mn : la droite (MN) coupe bien l'axe (Oy), au point d'ordonnée mn.

g2w Télécharger les figures GéoPlan mul_mati.g2w et pa_matia.g2w

 

Démonstrations géométriques de Pythagore

Calculs
d'aires

Seconde
Optimisation

Rotations
Les problèmes du BOA

Pavage

Cabri 3ème
Construction du pentagone

Sommaire

1. L'ombre d'un gyrophare
2. La plus petite aire
4. Trajet en temps minimum
6. Histoires de toit - voûte circulaire

La parabole en L

3. Aire maximum d'un rectangle dans un trapèze
5. Approche géométrique d'une tangente
6. Histoires de toit - voûte parabolique
7. Quadrature par la méthode d'Archimède
8. Le crible géométrique de Matiiassevitch

g2w Figures interactives : visualisation de ces exemples sur PC avec Internet Explorer et la version ActiveX de GéoPlan

 

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