Le programme de géométrie du collège avec GéoPlan, logiciel de construction géométrique.
Sommaire1. Configurations du plan, transformations planes Page no 69, réalisée le 30/5/2004 GéoSpace en 3eSections : cube - pyramide - solide de révolution ExcelTP d'arithmétique en troisième |
GéoPlan en troisièmeDeux parallélogrammes d'aires égales Construction de tangentes : cercle Carré, cercle et tangente : exercice collège Retrouver un triangle à partir de droites remarquables Points caractéristiques, lieux du triangle Triangle rectangle : relations trigonométriques. | ||||
Faire de la géométrie dynamique |
Démonstrations géométriques de Pythagore | Construction à la règle et au compas | Troisième |
Extraits sur la géométrie - Adaptation des exemples à GéoPlan
Le travail demandé en géométrie qui s'inscrit en complément, au moins partiel, de celui engagé précédemment (sur les configurations, les isométries), généralise des résultats antérieurs (situation de Thalès, angle inscrit…), tout en ouvrant un nouveau champ à la mise en œuvre de démonstrations. 1. Configurations du plan, transformations planesEn géométrie, le champ des configurations dans le plan et dans l'espace est élargi. Les activités de conjecture, d'expérimentation et de démonstration sont poursuivies ainsi que la pratique du dessin des figures
aussi bien à main levée qu'à l'aide des instruments de dessin et de mesure y compris dans un environnement informatique. On continue à entraîner les élèves à élaborer et à rédiger
des démonstrations dans l'esprit déjà indiqué dans le document d'accompagnement du cycle central. L'étude des transformations du plan se poursuit par celle de la rotation. L'élève aura ainsi à sa disposition en quittant le collège des moyens de repérer les éléments de symétrie et les invariances
dans les triangles, quadrilatères, polygones réguliers et une certaine maîtrise de leurs constructions. Depuis 2008, l'étude des translations et rotations sont hors programme : L'étude de la succession de deux symétries centrales est l'occasion de faire une autre lecture de la droite des milieux dans un triangle. Depuis 2008, l'étude des translations est hors programme et l'étude des vecteurs a failli ne pas être au programme de seconde. Le travail effectué antérieurement sur les translations et le parallélogramme conduit naturellement au vecteur. La composée de deux translations conduit à la définition de la somme vectorielle et aux coordonnées. 2. Les constructions géométriquesLes logiciels de construction géométrique permettent la mise en évidence de relations entre les éléments d'une figure ; elles doivent être explicitées par l'élève pour la dessiner. Ces logiciels permettent notamment d'observer une figure sans la reconstruire, lorsque l'on déplace par exemple un de ses points, afin de repérer des propriétés conservées et d'énoncer des conjectures. Ils constituent un moyen puissant d'exploration des figures, facilitent l'observation des propriétés (alignement, conservation de directions, concours de droites, etc.). Leur utilisation en collège présente deux caractéristiques particulièrement intéressantes. 3. Construction d'une droite parallèleCertains logiciels permettent de choisir les outils fournis à l'élève, en limitant les commandes mises à sa disposition. En voici un exemple : Dans ce type de problème, un choix judicieux des outils disponibles (éventuellement complexes) conduit à mettre en œuvre dans une construction, puis dans sa justification, les propriétés au programme des classes du collège. Télécharger la figure GéoPlan droite_parallele.g2w 4. Longueur minimum dans un triangle (rectangle)Ce type de logiciel permet la mise en place de situations qui pourraient paraître complexes, mais auxquelles la dynamique
de la figure permet de donner du sens. En voici un exemple que l'on peut traiter en classe de troisième : |
Une fois la construction réalisée, le logiciel permet d'afficher la distance EF qui varie quand on déplace M sur [BC], on peut facilement invalider les conjectures qui apparaissent fréquemment sur papier (le milieu ou les points B et C). Si le triangle ABC construit par l'élève est trop particulier, on peut le déformer (tout en le conservant rectangle). Le logiciel permet à l'élève d'observer que le point M peut être placé n'importe où sur [BC], que son déplacement modifie la longueur EF et ainsi de comprendre le problème posé. En déplaçant M l'élève peut aussi observer les invariants de la figure (ici que le quadrilatère MEAF est toujours un rectangle). L'observation du rectangle conduit à la solution (le pied de la hauteur) et à la démonstration (AM = EF). Télécharger la figure GéoPlan longueur_mini.g2w Variante avec un triangle acutangle (dont les trois angles sont aigus) : télécharger la figure GéoPlan longueur_mini_2.g2w |
On appelle x la distance BM, y la longueur EF. Télécharger la figure GéoPlan longueur_fct.g2w 5. Triangle, inscrit dans un triangle, de périmètre minimum (lycée)Problème de Fagnano (mathématicien italien 1682-1766) : trouver le triangle inscrit dans un triangle qui a le plus petit périmètre. ABC est un triangle acutangle (dont les trois angles sont aigus). M, N et P sont trois points variables situés sur les côtés [BC], [AC] et [AB]. Indications : Voir la figure interactive ou télécharger la figure GéoPlan longueur_fct_2.g2w |
En déplaçant les points M, N ou P, GéoPlan permet d'obtenir le périmètre p minimal. Télécharger la figure GéoPlan longueur_mini_3.g2w |
Ébauche de solution à partir des symétriques E et F de M par rapport aux côtés du triangle. Télécharger la figure GéoPlan longueur_mini_4.g2w |
La solution est le triangle orthique, où M, N et P sont les pieds des hauteurs du triangle ABC. En effet, pour un point M donné, on appelle E et F les symétriques de M par rapport aux côtés du triangle. On a PF = PM et NE = NM et, par suite, le périmètre p de MNP est égal à la longueur de la ligne brisée ENPF. Ce périmètre, pour M fixé sur [BC] est donc minimum lorsque N et P coïncident avec R et S. Pour minimiser p de façon absolue, il suffit de choisir M de façon à rendre minimum la longueur EF. Or comme AM = AE = AF et que FÂE = 2 BÂC, [EF] est une corde du cercle de centre A, de rayon AM, vue du centre de ce cercle sous l'angle 2 Â. Cette corde est de longueur minimum lorsque le cercle est de rayon minimum, c'est-à-dire lorsque M est le pied de la hauteur issue de A. L'unicité de ce minimum fait que par raison de symétrie les positions de N et P sont aussi les pieds des hauteurs issues de B et C. Sujet 25 de l'épreuve pratique 2009 de TS Voir aussi : aire maximale d'un triangle |
Activité B2i |
Domaine B2i |
Item collège validable |
La géométrie en 3ème |
1 – S'approprier un environnement informatique de travail. |
1.1 – Je sais m'identifier sur un réseau ou un site et mettre fin à cette identification. 1.2 – Je sais accéder aux logiciels et aux documents disponibles à partir de mon espace de travail. |
2 – Adopter une attitude responsable |
2.4 – Je m'interroge sur les résultats des traitements informatiques (calcul, représentation graphique, ordre des points nécessaire…) 2.7 – Je mets mes compétences informatiques au service d'une production collective. |
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3 – Créer, produire, traiter, exploiter des données. |
3.6 – Je sais utiliser un outil de simulation (ou de modélisation) en étant conscient de ses limites (le logiciel ne fournit pas de conditions nécessaires pour l'existence d'une solution dans laquelle les droites ne sont pas parallèles). |
Bulletin Officiel du 28 août 2008 Géométrie plane Les objectifs des travaux géométriques demeurent ceux des classes antérieures du collège. L'étude et la représentation d'objets usuels du plan et de l'espace se poursuivent ainsi que le calcul de grandeurs attachées à ces objets. […] Objectifs La résolution de problèmes a pour objectifs : |
Connaissances |
Capacités |
Commentaires |
3.1 Figures planes Triangle rectangle, relations trigonométriques. |
– Connaître et utiliser les relations entre le cosinus, le sinus ou la tangente d'un angle aigu et les longueurs de deux des côtés d'un triangle rectangle. – Déterminer, à l'aide de la calculatrice, des valeurs approchées : |
La définition du cosinus a été vue en classe de quatrième. Le sinus et la tangente d'un angle aigu sont introduits comme rapports de longueurs. La seule unité utilisée est le degré décimal. |
– Connaître et utiliser la proportionnalité des longueurs pour les côtés des deux triangles déterminés par deux parallèles coupant deux droites sécantes. – Connaître et utiliser un énoncé réciproque. |
Il s'agit de prolonger l'étude commencée en classe de quatrième qui, seule, est exigible dans le cadre du socle commun. |
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Agrandissement et réduction. [Reprise du programme de 4e] |
– Agrandir ou réduire une figure en utilisant la conservation des angles et la proportionnalité entre les longueurs de la figure initiale et celles de la figure à obtenir. |
Dans le cadre du socle commun, il est attendu des élèves qu'ils sachent, dans des situations d'agrandissement ou de réduction, retrouver des éléments (longueurs ou angles) de l'une des deux figures connaissant l'autre. |
Angle inscrit, angle au centre. |
– Connaître et utiliser la relation entre un angle inscrit et l'angle au centre qui intercepte le même arc. |
Cette comparaison entre angle inscrit et angle au centre permet celle de deux angles inscrits sur un même cercle interceptant le même arc. |
– Construire un triangle équilatéral, un carré, un hexagone régulier, un octogone connaissant son centre et un sommet. |
Géométrie dans l'espace en troisième
Programmes de géométrie plane au collège :
sixième
cinquième
quatrième
GéoPlan en 3e |
Collège |
GéoPlan |
Construction du pentagone régulier | ||
SommaireDocument d'accompagnement du programme 1. Configurations du plan, transformations planes |
Figures interactives : visualisation de ces exemples sur PC avec Internet Explorer et la version ActiveX de GéoPlan | ||||
Faire de la géométrie dynamiqueSuggestions, remarques, problèmes : me contacter. |